En cas de sciatique, il n’est pas nécessaire de réaliser en routine une IRM chez les patients qui doivent avoir une infiltration épidurale de cortisone dans le rachis lombaire, à visée antalgique. L’étude menée chez 132 personnes, dont la moitié a eu une IRM préalablement au traitement, montre que l’imagerie n’aide pas significativement à la prise de décision, et que les résultats sur le plan du soulagement ne sont pas meilleurs (Steven Cohen, université Johns Hopkins). « L’usage non discriminant d’une imagerie coûteuse n’est donc pas indiqué », concluent les auteurs.
Archives of Internal Medicine, en ligne le12 décembre 2011.
Autour de l’ordonnance
Diabète de type 2 : recommandations actualisées pour une offre thérapeutique étoffée
Formation
L’IGAS propose de remplacer l’obligation de DPC par…
Une enquête de l’ANEPF
Formation initiale : le cursus pharmaceutique doit-il évoluer ?
Rémunération
ROSP qualité : plus que deux semaines pour s’autoévaluer !