Les points clés

Publié le 14/09/2009
Article réservé aux abonnés

- Un traitement antalgique efficace doit toujours être prescrit chez un patient cancéreux algique.

- Ce traitement doit couvrir aussi bien les douleurs continues (traitement dit « basal » réalisé avec des formes à libération prolongée, orales ou non) que les accès douloureux paroxystiques (ADP) (traitement réalisé avec des formes à libération immédiate, orales comme transmuqueuse, ou injectables).

- Les opiacés de palier 3 constituent des médicaments de choix de ce traitement, ; ils doivent pouvoir être prescrits même en première ligne si besoin.

- La morphine est le chef de file du traitement antalgique chez le patient cancéreux. Le fentanyl offre l’avantage d’une présentation sous forme de patchs d’emploi aisé.

- Un contrôle insuffisant des douleurs justifie une alternance dans les opiacés prescrits (« rotation opiacée »).

- Les effets indésirables induits par les opiacés peuvent généralement être contrôlés ou réduits par des mesures simples.


Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2685