- La maladie de Parkinson est une affection neurodégénérative touchant les voies dopaminergiques impliquées dans la motricité mais également d’autres réseaux neuronaux.
- Son étiologie exacte reste inconnue, mais la participation environnementale n’est pas négligeable.
- Son diagnostic, clinique, repose sur trois signes : tremblement de repos, lenteur des mouvements, rigidité musculaire.
- Le traitement, symptomatique, ne peut que ralentir l’évolution de la maladie qui reste inéluctable.
- Les présentations peu handicapantes ne doivent pas être traitées systématiquement.
- L’usage des anticholinergiques est restreint à des formes affectant le sujet jeune.
- La dopathérapie est réalisée par apport d’un précurseur de la dopamine, la lévodopa, ou par administration d’agonistes dopaminergiques.
- L’usage d’inhibiteurs enzymatique et/ou d’artifices galéniques (formes LP) permet de minimiser, au moins temporairement, les fluctuations de stimulation des récepteurs dopaminergiques.
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