- Les dysfonctions érectiles peuvent être d’origine organique, psychologique ou mixte.
- Elles ne doivent jamais être sous-estimées, surtout si elles se répètent, en raison de leurs impacts possibles sur la qualité de vie et comme signal d’alerte d’une éventuelle pathologie cardio-vasculaire méconnue.
- Une persistance ou récurrence des troubles pendant au moins de 3 mois (sauf cause clairement chirurgicale) est nécessaire pour poser le diagnostic de dysfonction érectile.
- Toute prise en charge d’une dysfonction érectile suppose au moins une consultation médicale initiale, permettant notamment d’évaluer la demande du patient et de sa partenaire.
- L’identification des éventuels facteurs de risque est incontournable.
- Ainsi que la recherche d’une éventuelle pathologie cardio-vasculaire associée.
- Des explorations biologiques ou des examens complémentaires peuvent être utiles.
- Le traitement symptomatique de première intention est représenté par les IPDE 5, en respectant les contre-indications et les schémas posologiques de chacun d’entre eux. L’évaluation de leur efficacité nécessite souvent plusieurs prises successives.
- Les autres approches sont représentées par les inducteurs d’érection, les érecteurs à dépression, les implants péniens rigides et les prothèses péniennes hydrauliques.
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