Il n’est pas coutumier de demander l’orientation sexuelle du patient lors de l’interrogatoire médical. Cet état de fait pourrait bien changer, selon des chercheurs de la faculté de médecine de Boston. L’équipe de Lisa Checkel vient de montrer que l’orientation sexuelle modifie la vulnérabilité face au cancer. Dans une étude ayant inclus 7 252 femmes et 3 690 hommes ayant eu une tumeur maligne, il est apparu que la prévalence des cancers était plus élevée chez les hommes homosexuels que chez les hétérosexuels et que l’état de forme physique des femmes lesbiennes et bisexuelles après un cancer était moins bon que celui de leurs pairs hétérosexuelles. Des programmes
ciblés de santé publique pourraient se révéler utiles dans ces populations.
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