Un nombre important d’échecs thérapeutiques est constaté. Les principales raisons sont la faible observance, l’insuffisance d’informations, le manque de connaissances, l’isolement.
Plusieurs causes à cette observance médiocre sont évoquées : l’épuisement des parents ou des patients eux-mêmes face à la chronicité des poussées ; la complexité du traitement ; la corticophobie des patients et des soignants ; les effets secondaires de certains traitements.
Des prises en charge thérapeutiques de la DA, appelées écoles de l’atopie, sont proposées par certains laboratoires dermatologiques (La Roche-Posay, Uriage, Pierre Fabre) ou organisées dans les hôpitaux. Elles constituent avant tout un lieu d’écoute et d’échanges.
Le programme éducatif est géré par une équipe pluridisciplinaire (dermatologue, pédiatre, allergologue, psychologue, infirmières) qui se met au service du patient afin de répondre expressément à sa problématique.
Il se déroule schématiquement en quatre étapes : la réalisation d’un diagnostic initial éducatif, la mise en place d’un contrat de soins, un transfert de compétences (ateliers collectifs, démonstrations pratiques) et l’évaluation de l’adhésion aux objectifs pédagogiques.
Les écoles de l’atopie
Publié le 25/02/2016
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3243
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