Maintenant que les conséquences néfastes des pesticides pour la santé sont officiellement reconnues par la recherche française, Générations Futures demande « une action publique forte et rapide » et notamment « de légiférer pour qu’à terme les collectivités publiques n’utilisent plus ces produits et que ceux-ci ne soient plus vendus aux utilisateurs non professionnels. » Est cité l’exemple de la jardinerie Botanic qui a retiré complètement les pesticides de synthèse de ses magasins depuis 4 ans. Les trois ministres de la Santé, de l’Agriculture et de l’Écologie ont indiqué vendredi dernier avoir saisi l’ANSES (agence de sécurité sanitaire) pour évaluer « l’impact de ces nouvelles données sur les autorisations nationales existantes ». Les données vont également être transmises au niveau européen, en vue de la réévaluation des substances actives autorisées au niveau communautaire.
Les associations veulent une action forte
Publié le 20/06/2013
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3017
Autour de l’ordonnance
Diabète de type 2 : recommandations actualisées pour une offre thérapeutique étoffée
Formation
L’IGAS propose de remplacer l’obligation de DPC par…
Une enquête de l’ANEPF
Formation initiale : le cursus pharmaceutique doit-il évoluer ?
Rémunération
ROSP qualité : plus que deux semaines pour s’autoévaluer !