La réactivation de l’infection par le virus herpes-varicelle-zona (HVZ), du fait de ses complications, notamment les douleurs post-zostériennes (DPZ), représente une des causes majeures de perte de qualité de vie chez la personne âgée. Les douleurs post-zostériennes touchent 50 % des plus de 70 ans à 3 mois après un zona.
Beaucoup de personnes âgées, qui, bien que fragiles, maintenaient un équilibre de vie satisfaisant sont ainsi, tout à coup, confrontées quotidiennement à une douleur traçante, lancinante, qui retentit parfois fortement sur l’humeur. La prise en charge médicamenteuse repose sur l’utilisation d’antidépresseurs et de certains antiépileptiques. Cependant, ces médicaments ont une efficacité inconstante et des effets indésirables fréquents aux posologies efficaces, notamment chez les sujets âgés. La prise en charge des DPZ est donc un défi parfois difficile chez ces patients dont la polymédication et les comorbidités réduisent les options thérapeutiques.
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