C’est à la fréquence cardiaque de l’enfant manquant de sommeil que s’est intéressée une équipe de Pennsylvanie, Fan-He et coll. Elle a réalisé des polysomnographies chez 612 enfants de 9 ans environ et a fait un lien avec la modulation autonome cardiaque. Cette modulation est sous l’influence excitatrice sympathique et frénatrice parasympathique.
Chez les enfants insomniaques ou carencés en sommeil, la balance se fait vers l’excitation du rythme cardiaque, par une baisse de 3 à 5 % de la modulation parasympathique. Chez ceux dormant à satiété, le tonus parasympathique l’emporte. Passer de 7 à 8 heures de sommeil, c’est 2 battements de moins/min.
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