Les analyses approfondies des trois études menées par l’Agence de biomédecine, sur une période étendue (janvier 2010-décembre 2017) et concernant plus de 100 000 patients, confirment les premiers résultats présentés en juillet dernier : l’utilisation de l’acide citrique dans les dialysats ne présente pas de risque de surmortalité pour les patients.
L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) salue l’importante mobilisation des différentes agences, des professionnels de santé et des associations de patients depuis l’alerte relayée par l’association Renaloo en décembre dernier. Cette alerte émanait initialement d’une étude d’un chercheur à l’INSERM, présentée au congrès de la Société francophone de néphrologie et faisant état de « centaines de personnes dialysées [qui] pourraient avoir perdu la vie prématurément ». Une supposition balayée par les investigations menées ces derniers mois.
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