PRENEZ la plus célèbre énigme policière de l’Histoire du crime, ajoutez-y un curieux impénitent et un châle maculé de sang. Mélangez le tout avec la plus moderne des techniques d’identification d’ADN et vous aurez percé l’un des plus grands mystères des annales judiciaires… C’est en suivant ce mode d’emploi que l’homme d’affaires britannique Russel Edwards vient de sortir des ténèbres le patronyme de Jack l’éventreur. Le châle, est celui gardé précieusement par la famille d’un policier qui l’avait trouvé près d’une des victimes de Jack, le 29 septembre 1888. Il porte un curieux motif : les marguerites de la fête de Saint-Michel. Une célébration chrétienne qui a lieu les 29 septembre et 8 novembre chez les orthodoxes. Dates auxquelles deux des 5 victimes ont goûté au couteau de l’éventreur. Un indice laissé justement le 29 septembre pour indiquer la date du prochain crime ? C’est l’hypothèse d’Edwards qui s’intéresse alors à Aaron Kominski, l’un des six suspects, interpellé puis relâché à l’époque des faits. Kominski est coiffeur à Whitechapel, il est probablement schizophrène et paranoïaque. La confirmation de l’hypothèse d’Edwards se trouve sur l’étoffe. Confrontées à l’ADN d’une descendante de la sœur de Kominski, les traces de sperme retrouvées sur le châle montrent une communauté génétique confondante pour le suspect… Jack s’appelait Aaron.
126 ans après, l’éventreur de Londres confondu par son ADN
Jack s’appelait Aaron
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Publié le 11/09/2014
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Le vrai visage de l’éventreur ?
Crédit photo : dr
D.D.
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3113
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