Au fil des années, la définition des céphalées postcoïtales a évolué. La toute récente classification officielle de l’International Headache Society (IHS) ne fait plus le distinguo entre céphalées pré-orgasmiques et orgasmiques. Les céphalées coïtales représentent maintenant une seule et même entité avec des présentations cliniques variables. Le tout premier épisode de céphalée postcoïtale nécessite une neuro-imagerie en urgence afin de ne pas méconnaître une cause organique : hémorragie méningée, dissection artérielle cervicale, syndrome de vasoconstriction cérébrale réversible, selon le Dr C. Lucas auteur d’une mise au point sur le sujet dans « Pratique Neurologique » daté de février 2014. Dans les formes primaires, les hommes sont plus touchés que les femmes ; elles sont bilatérales dans 2 cas sur 3, non accompagnées de signes neurovégétatifs, et s’accompagnent de diffusion occipitale dans 80 % des cas.
Céphalées postcoïtales
Éliminer une cause organique
Publié le 31/03/2014
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3081
Autour de l’ordonnance
Diabète de type 2 : recommandations actualisées pour une offre thérapeutique étoffée
Formation
L’IGAS propose de remplacer l’obligation de DPC par…
Une enquête de l’ANEPF
Formation initiale : le cursus pharmaceutique doit-il évoluer ?
Rémunération
ROSP qualité : plus que deux semaines pour s’autoévaluer !