« BUVEZ, éliminez ! » dit la publicité. C’est un peu ce que suggèrent aussi les résultats d’une récente étude menée par les chercheurs du Brigham and Women’s Hospital de Boston (Massachusetts, États-Unis) ; au détail près que l’objet de leur test n’est pas une eau minérale mais une boisson alcoolisée. Pendant 13 ans, les scientifiques ont suivi 19 000 femmes américaines sans problème de poids, âgées de 39 ans et plus, triées selon leur niveau de consommation alcoolique quotidienne. Surprenant résultat en forme de paradoxe : au terme de ce long suivi, les adeptes des deux verres de vins quotidiens ont bien mieux résisté à la prise de poids que les abstinentes. Mais, à bien y réfléchir, ce constat n’est pas si étonnant qu’il y paraît si l’on considère les propriétés anorexigènes bien connues de l’alcool. Quoi qu’il en soit, les auteurs invoquant l’intangible principe de la balance bénéfice/risque ne vont pas jusqu’à recommander la consommation d’alcool comme remède à l’obésité. Tant pis pour les grosses buveuses qui voulaient rester minces.
L’alcool pourrait aider les femmes à maigrir
Deux verres, au revoir les kilos !
Publié le 11/03/2010
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Un nouveau french paradox ?
› D.D.
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2732
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