L’alerte terroriste reste au maximum et l’état d’urgence a été prolongé de trois mois. Le gouvernement se prépare à toutes les éventualités, même les pires scénarios ne sont pas écartés. « Je le dis bien sûr avec toutes les précautions qui s’imposent, mais nous savons et nous l’avons à l’esprit, il peut y avoir aussi le risque d’armes chimiques ou bactériologiques », a indiqué jeudi dernier le Premier ministre Manuel Valls devant l’Assemblée nationale. Dès samedi 14 novembre, soit le lendemain des attentats terroristes de Paris, la ministre de la Santé a autorisé, par un arrêté publié au « Journal officiel » du 15 novembre, l’utilisation par les services d’urgence du sulfate d’atropine fabriqué par la Pharmacie centrale des armées, antidote des neurotoxiques organophosphorés habituellement réservé aux militaires.
Des risques d’attaque au gaz neurotoxique
Publié le 23/11/2015
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3219
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