Elles ont pour seule indication le traitement de l’acné de la femme mais leur composition en fait également des pilules contraceptives et les met sur la sellette au même titre que les pilules de 3e génération. Sur le marché français depuis 1982, Diane 35 (Bayer) a rencontré un succès certain et est aujourd’hui largement génériquée. Evepar (Mylan), Holgyème (Effik), Lumalia (Pierre Fabre Dermatologie), Minerva (Biogaran) sont donc tout aussi concernés. Une vaste étude danoise estime que les risques de phlébite et d’embolie pulmonaire sont multipliés par 6,68 avec ces traitements, lorsqu’ils sont multipliés par 5,58 avec les pilules de 3e génération et par 7,90 pour celles de 4e génération.
D’autres pilules sur la sellette
Publié le 10/01/2013
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2972
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