L’un des effets indésirables les plus gênants de la dopathérapie est représenté par les complications motrices prenant la forme de mouvements anormaux involontaires (alternances très rapides de phases « on/off »), qui surviennent, en moyenne 5 à 6 ans après le début du traitement.
On sait maintenant que le développement de ces dyskinésies résulte d’une plasticité mal adaptative, due à la fois à la dénervation dopaminergique, aux propriétés et au mode d’administration (intérêt des formulations retard) des médicaments utilisés.
On sait aussi qu’on peut retarder leur survenue en assurant une stimulation des récepteurs à la dopamine la plus continue possible, en recourant à certains agonistes dopaminergiques.
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