Un geste chirurgical s’envisage lorsque la pathologie occasionne un handicap sévère ou, inversement, si un handicap peut constituer à terme une cause d’arthrose (ex : luxation congénitale de la hanche) ou si une déformation articulaire s’associe à une douleur. L’arthroplastie (pose d’une prothèse articulaire) concerne essentiellement la hanche, la rotule ou le genou (50 000 prothèses de hanche et 20 000 prothèses de genou sont posées chaque année en France). L’arthrodèse consiste à fusionner de petites articulations pour supprimer les douleurs à la mobilisation articulaire, tout en conservant la possibilité d’un mouvement global : cette technique n’est envisagée que très exceptionnellement, lorsqu’une arthroplastie est impossible ou lorsque les articulations en cause ne participent que peu à la mobilité globale.
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