La Polynésie française est passée au stade épidémique, après les premiers cas de chikungunya annoncés vendredi dernier, indique le gouvernement local. Le ministère de la Santé polynésien a identifié 59 cas avérés et 200 cas suspects. L’épidémie a débuté par l’identification de 15 cas dans une commune du sud de Tahiti, que le gouvernement pensait pouvoir contenir en pulvérisant de l’insecticide pour tuer les moustiques dans les quartiers concernés, mais cela n’a pas suffi. Non seulement le nombre de cas avérés a quadruplé en cinq jours, mais d’autres îles sont désormais touchées : Tubuai, Raiatea et l’atoll d’Apataki. Le ministère de la Santé appelle à la mobilisation de la population « contre l’ennemi numéro 1, le moustique », par la destruction des gîtes larvaires. Par ailleurs, le ministère précise avoir commandé un « laboratoire de confinement P3 » afin d’anticiper l’arrivée possible du virus Ebola, mais face à la forte demande internationale, il ne devrait pas être livré « avant 4 ou 5 mois ».
Chikungunya : début d’épidémie en Polynésie
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Publié le 16/10/2014
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moustique
Crédit photo : AFP
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Source : lequotidiendupharmacien.fr
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