LA MEILLEURE connaissance des risques permet, on le sait, de limiter la survenue d’événements indésirables. Voilà sans doute ce qui a motivé l’équipe INSERM d’Eloi Marijon dans ses travaux. Les chercheurs ont recensé et géolocalisé tous les arrêts cardiaques constatés à Paris sur la voie publique entre 2000 et 2010. Objectif ? Situer les endroits les plus à risque de subir un arrêt cardiaque. Au palmarès des cœurs brisés, ce sont les 5 gares parisiennes qui remportent la palme. Car si Lyon, Montparnasse, Austerlitz, Nord et Est ne représentent que 1 % de la surface de la capitale, elles concentrent 20 % du nombre total d’arrêts cardiaques survenus sur la voie publique. Stress imposé par les horaires, attentes nerveuses, flux permanent de personnes et de machines, ou encore adieux déchirants des amoureux sur les quais de gare… Parmi ces facteurs, l’étude ne désigne pas précisément ceux qui majorent aussi significativement le risque cardio-vasculaire. Mais il ne faudra pas s’étonner si les salles des pas perdus sont un jour rebaptisées salles des cœurs perdus.
Zones à risque d’infarctus
Cardiaques : gare aux gares !
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Publié le 16/04/2015
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3171
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