- Alpha-bloquants : hypotension orthostatique, vertiges, rétention sodée, tachycardie d’origine réflexe, asthénie, céphalées, troubles visuels.
- Antihypertenseurs centraux : hypotension orthostatique, sécheresse buccale, majoration d’un état dépressif, sédation ; leur arrêt brutal expose à un risque de rebond hypertensif.
- ARA2 : hyperkaliémie
- Bêta-bloquants : bradycardie, insuffisance cardiaque, trouble de la microcirculation cutanée, asthénie, troubles digestifs.
- Diurétiques thiazidiques : hypokaliémie, hyponatrémie (surtout chez les personnes âgées), dyslipidémie (augmentation du LDL-cholestérol), augmentation de l’uricémie, intolérance aux glucides (probablement par baisse de la sécrétion d’insuline)
- Diurétiques épargneurs de potassium : hyperkaliémie
- Antialdostérones : hyperkaliémie, gynécomastie, troubles des règles
- IEC : toux, hyperkaliémie
- Inhibiteurs calciques dihydropyridines : œdèmes des membres inférieurs, céphalées, rougeurs de la face
- Inhibiteurs calciques non dihydropyridines : bradycardie
- Inhibiteur de la rénine : diarrhée, hyperkaliémie
Toutes les classes d’antihypertenseurs sont susceptibles d’induire une impuissance.
Les diurétiques, IEC, ARA2 et inhibiteurs de la rénine doivent être arrêtés transitoirement dans les situations de déshydratation (attention lors des épisodes de canicule estivale).
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