Bien qu’un diagnostic précoce soit très utile (meilleure acceptation de la maladie, plus grande efficacité des traitements, meilleure organisation de l’aide médico-sociale selon la triade « anticiper – organiser – protéger »), celui-ci demeure difficile car :
- Le diagnostic repose essentiellement encore sur des signes cliniques.
- Au début, les examens complémentaires sont normaux, bien qu’il faille souligner les progrès concernant la neuro-imagerie et les biomarqueurs (dosables dans le liquide céphalorachidien).
- Il s’agit toujours d’un diagnostic de probabilité, le diagnostic de certitude restant histologique (et donc post mortem).
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