Alzheimer : un diagnostic précoce difficile

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Publié le 21/10/2013
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Bien qu’un diagnostic précoce soit très utile (meilleure acceptation de la maladie, plus grande efficacité des traitements, meilleure organisation de l’aide médico-sociale selon la triade « anticiper – organiser – protéger »), celui-ci demeure difficile car :

- Le diagnostic repose essentiellement encore sur des signes cliniques.

- Au début, les examens complémentaires sont normaux, bien qu’il faille souligner les progrès concernant la neuro-imagerie et les biomarqueurs (dosables dans le liquide céphalorachidien).

- Il s’agit toujours d’un diagnostic de probabilité, le diagnostic de certitude restant histologique (et donc post mortem).


Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3039