« La prise en charge doit commencer par les modifications hygiénodiététique », souligne M Puylavert (Belgique). La pancréatite chronique est en effet plus souvent due à l’alcool qu’au diabète. Néanmoins il est rare que ces modifications suffisent. Sans compter qu’il n’est pas si simple d’imposer un arrêt de l’alcool…
« En seconde ligne on essayera les traitements médicamenteux indiqués dans l’échelle de l’OMS. À savoir les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et les opioïdes ». Sachant que le risque d’addiction aux opioïdes est à prendre en compte.
« En troisième ligne, un traitement endoscopique ou chirurgical est envisagé ». Sous réserve que l’indication soit posée par un gastro-entérologue.
« Le blocage du nerf splanchnique, par radiofréquence ( brûlure à 80° C), dans l’attente d’avoir plus de recul, reste donc aujourd’hui réservé à une minorité de patients, en échec ».
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