- Bien que considéré comme faible, le risque d’un passage dans la circulation générale des principes actifs utilisés par voie oculaire doit être pris en compte, tant pour les contre-indications qu’en ce qui concerne les éventuels effets indésirables.
- Une bonne tolérance locale est indispensable à une bonne observance.
- Attention aux effets indésirables survenant tardivement, même après un délai de plusieurs années.
- Ainsi qu’au possible impact des conservateurs, qui peut, lui aussi, être retardé.
Autour de l’ordonnance
Diabète de type 2 : recommandations actualisées pour une offre thérapeutique étoffée
Formation
L’IGAS propose de remplacer l’obligation de DPC par…
Une enquête de l’ANEPF
Formation initiale : le cursus pharmaceutique doit-il évoluer ?
Rémunération
ROSP qualité : plus que deux semaines pour s’autoévaluer !