CERTAINES préconisations du rapport de l’IGAS et l’IGF rendu public cet été (« le Quotidien » du 3 septembre) inquiètent l’association nationale des étudiants en pharmacie de France (ANEPF) et la Fédération nationale des syndicats d’internes en pharmacie (FNSIP). En particulier la baisse de la marge des officinaux sur les médicaments et la diminution de 10 % du nombre d’officines. « Nous accueillons favorablement la nécessité de restructuration du réseau et du maillage territorial, qui permettrait un accès aux soins de proximité efficace et de qualité dans tout le territoire, mais doutons de la réelle efficacité de cette méthode si celle-ci a pour conséquence la fermeture de plus de 2 000 officines », expliquent-elles. Plus généralement, elles craignent pour l’avenir de la profession de pharmacien, ainsi que de la stabilité future du réseau, notamment dans les zones sous-médicalisées, et espèrent que certaines propositions du rapport pourront être réétudiées avec les instances professionnelles représentatives de la pharmacie.
Rapport IGAS/IGF
Les étudiants inquiets
Publié le 06/09/2012
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2941
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