Difficultés économiques, désertification médicale ou excès de licences dans certains endroits : les raisons de mettre la clé sous la porte ne manquent pas. En cinq ans, 500 officines ont ainsi fermé à jamais, observe Alain Delgutte, président de la section A de l’Ordre des pharmaciens. Si toutes les régions sont concernées, il s’agit pour plus de la moitié d’officines situées dans les grandes villes de plus de 10 000 habitants. Quant aux raisons des fermetures, 9 % sont liées à des liquidations judiciaires et 50 % à une cession de clientèle. Plus 40 % baissent purement et simplement leur rideau de fer sans indemnité aucune. Des pharmacies invendables qui ne trouvent pas de repreneurs. Selon Alain Delgutte, 500 autres pharmacies - dont les titulaires ont plus de 55 ans et qui auront des difficultés à vendre -, sont à risque et pourraient disparaître d’ici à quelques années.
500 officines en danger Abonné
Publié le 01/10/2012
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2948
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