Celles-ci sont plus graves et plus difficiles à traiter.
Alors que l’hépatite B a sans doute peu d’impact sur l’infection VIH, cette dernière accélère et aggrave l’histoire naturelle de l’hépatite B chronique.
La marche vers la fibrose est plus rapide, le risque de décompensation d’une cirrhose plus élevé ainsi que d’une survenue plus précoce d’un cancer hépatique.
Or, du fait de modes de transmission communs, les infections par les virus des hépatites virales sont particulièrement fréquentes chez les personnes infectées par le VIH : 50 à 80 % d’entre elles ont été en contact avec le VHB, tandis que 7 % sont porteuses de l’antigène HBs.
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