NOVEMBRE. Signataires et non-signataires de l’avenant n° 11 conclu cet été continuent de s’opposer sur le volet économique du texte. La Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) maintient que le compte n’y est pas. Pour le syndicat, l’enveloppe allouée aux nouvelles missions est surestimée. Pas d’accord, le directeur général de l’assurance-maladie, Nicolas Revel, réfute l’idée d’une erreur dans les projections financières liées à la mise en œuvre des bilans de médication qui démarreront en 2018. De son côté, la ministre de la Santé soutien les évolutions prévues par la nouvelle convention. Agnès Buzyn estime nécessaire de faire en sorte que l’économie officinale soit de moins en moins dépendante du prix des médicaments.
Le conseil officinal est lui aussi en plein bouleversement. La présidente de l’Ordre, Carine Wolf-Thal, annonce qu’elle vient d’ouvrir une vaste concertation visant à définir un nouveau statut pour le médicament conseil.
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