Un réseau important de fabrication et de commercialisation de faux médicaments couvrant plusieurs pays européens, dont l’Espagne où étaient implantés des laboratoires, a été neutralisé début février. La police espagnole et la Guardia Civil ont arrêté 37 personnes et saisi 70 000 médicaments interdits, ainsi que 120 kg de substances illicites tels que des stéroïdes anabolisants, des hormones et des stimulants sexuels, tout comme des machines et outils servant à leur fabrication.
Selon l’Institut international de recherche anti-contrefaçon de médicaments (IRACM) qui révèle ce vaste coup de filet, c’est le tatouage du chef de l’organisation criminelle qui a permis de le confondre. Celui-ci portait en effet le logo de sa marque de faux médicaments tatoué dans le cou.
Interdiction d’exercer pendant un an
Sa conseillère en dermocosmétique délivrait des médicaments
Bayrou s’obstine
Crise des remises génériques : les pharmaciens déterrent la hache de guerre
Vente en ligne
Analogues du GLP-1 : l’inquiétante prolifération des sites vendant des contrefaçons
Rencontres, discussions, mobilisation...
Remises génériques : coup de pression sur le gouvernement