PLUS DE 12 millions d’élèves ont repris cette semaine le chemin de l’école. Pour certains d’entre eux, cette rentrée est synonyme de nouveaux rythmes scolaires. Finie la semaine de 4 jours instaurée en 2008, retour aux 4,5 jours d’école hebdomadaire. Cette réforme voulue par le ministre de l’Éducation nationale, Vincent Peillon, provoque des craintes et seulement quelque 4 000 communes ont décidé de la mettre en place dès 2013. Mais les médecins scolaires, eux, soutiennent globalement cette nouvelle organisation de la semaine des écoliers attendue depuis plusieurs années. L’objectif de la réforme est d’alléger les journées de classe et de concentrer les temps d’apprentissage le matin, permettant ainsi de mieux respecter la biochronologie de nos chérubins. « S’il est mis en place dans des conditions satisfaisantes, ce nouveau rythme scolaire sera bénéfique pour tous : les enfants, les personnels enseignants et les parents », affirme le Dr Corinne Vaillant, secrétaire générale du Syndicat national des médecins scolaires et universitaires (SNMSU-UNSA). Le Dr Patricia Colson, secrétaire générale du Syndicat national autonome des médecins de l’Éducation nationale (SNAMSPEN), juge, elle, nécessaire de « libérer les enfants après 5 h 30 d’école quotidienne », comme la réforme le prévoit. « Quand on leur bourre le crâne, on ne leur donne plus envie d’apprendre », souligne-t-elle.
Nouveaux rythmes à l’école
Les médecins scolaires favorables à la réforme
Publié le 05/09/2013
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C. M.
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3026
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