POUR RÉPONDRE à la demande croissante d’une médecine la plus naturelle possible, Hippocratus, pionnier en matière de e-learning, rend sa formation en phyto-aromathérapie et plantes médicinales de plus en plus accessible. Cette e-formation, créée en 2001, a été la première à être agréée par le Haut comité de la formation pharmaceutique continue en 2004.
En février 2009, nouvelle avancée : les officinaux peuvent bénéficier d’une prise en charge par l’OPCA-PL. La e-formation comporte beaucoup d'avantages : elle supprime un certain nombre de contraintes (remplacement du pharmacien ou du préparateur, aménagement des horaires, déplacement), tout en limitant largement l’abandon en cours de formation (moins de 20 %) grâce au suivi par 2 tuteurs, un médecin phytothérapeute et un coach.
À une époque où l’accès à l’information est largement facilité pour le grand public, le pharmacien a tout intérêt à mettre ses connaissances à jour, d’autant que ce type d’enseignement ne fait pas encore partie du cursus universitaire. Cette formation en phyto-aromathérapie a fait ses preuves puisque, selon une enquête réalisée pour Hippocratus, les officines l’ayant suivie ont observé une progression moyenne de leur chiffre d’affaires de 66 % dans le secteur concerné au lieu de 15 à 17 % habituellement.
Quelle est la différence entre gemmothérapie, homéopathie, aromathérapie et phytothérapie ? Quelles sont les huiles essentielles pouvant être utilisées chez les enfants ? Quels « phytoconseils » prodiguer pour les principales pathologies ? Autant de réponses que vous trouverez tout au long de cet enseignement divisé en 2 cycles, le 1er qui explique le cheminement de la plante au médicament, et le second qui détaille les prescriptions en phyto-aromathérapie en fonction des différentes pathologies.
Philippe Besset écrit au Premier ministre pour la vaccination Covid en pharmacie
Lafayette investit dans la vente en ligne
Tests antigéniques
Une prime de 300 euros
« Les risques de pression de sélection existent », selon le Pr Christine Rouzioux
Les variants doivent être surveillés de très près