Après un échec en PACES, certains étudiants ont choisi de partir étudier la médecine, et parfois la pharmacie, à l’étranger. « Certains s’expatrient même avant d’avoir tenté le concours, histoire de ne pas perdre une année », observe Nassim Mekeddem.
Le barrage du numerus clausus a également amené d’autres étudiants à s’inscrire à une formation proposée par l’Établissement supérieur d’études médicales (ESEM), mieux connu sous les noms de Clesi ou Pessoa, qui concerne aujourd'hui uniquement les études d'odontologie et de kinésithérapie.
Mais attention : « cette société propose depuis sa création des formations médicales et paramédicales illégales, sous couvert de délivrer une alternative au concours d’entrée aux études médicales », alertent dans un manifeste plusieurs associations étudiantes, dont l’ANEPF. Elles y dénoncent « la tromperie dont les étudiants de l’ESEM sont victimes ».
Ces étudiants qui contournent le numerus clausus
Publié le 02/06/2016
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3270
A la Une
Venlafaxine, quétiapine : prévoir un été sous tension
Nouvelle mission
Dépister l’hypertension à l’officine, c’est déjà une réalité en PACA
Risque d'overdose mortelle
Neuf benzodiazépines de synthèse sur la liste des stupéfiants
Mobilisation de la profession
Baisse du plafond des remises génériques : les pharmaciens s’apprêtent à frapper plus fort