La Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) propose d’intégrer, à la future loi santé, le droit de substitution aux dispositifs médicaux et aux médicaments vétérinaires.
Pourquoi ne pas autoriser le droit de substitution aux dispositifs médicaux inscrits sur la LPPR (pansements, compresses, etc.), ainsi qu'aux médicaments vétérinaires ? Telles sont deux propositions (parmi onze) que la FSPF a remises au gouvernement, dans le cadre de la préparation de la prochaine loi santé (Loi relative à l’organisation et à la transformation du système de santé). « La substitution des dispositifs médicaux inscrits sur la LPPR en ligne générique, sur le modèle prévu pour la substitution des médicaments, permettrait la régulation des prix et la réduction du reste à charge pour le patient », argumente le syndicat de pharmaciens. Quant à la substitution de médicaments vétérinaires, elle permettrait de « faire baisser les prix de ces médicaments, qui sont aujourd’hui plus chers en médecine vétérinaire qu’en médecine humaine, et de redonner du pouvoir d’achat aux usagers propriétaires d’animaux ».
D’après les données franciliennes de Santé publique France
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