Dans un récent rapport sur les biosimilaires, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) estime que « toute interchangeabilité n’est plus formellement exclue et peut être envisagée sous certaines conditions » : le patient doit donner un accord éclairé et bénéficier d’une surveillance clinique appropriée, les produits biologiques utilisés doivent être parfaitement traçables.
Un changement de position dont se félicite le GEMME. L’association, qui réunit 19 industriels du médicament générique et biosimilaire, se dit en effet favorable au « principe d’interchangeabilité sous condition de traçabilité, d’information et d’acceptation des patients ». Pour le GEMME, il s’agit d’une « première étape majeure dans la diffusion, la prescription et l’utilisation » des biosimilaires en France.
D’après les données franciliennes de Santé publique France
Psychotropes à visée hypnotique : qui sont les Français qui en consomment (de moins en moins) ?
Ça s’en va et ça revient (ou pas)
Des psychotropes sur le retour ?
À savoir pour bien dispenser
Nicorandil : nouvelle mise en garde contre le risque d’ulcérations
Si les patients vous en parlent
Exposition des pères au valproate : quels sont les risques ?