Alors que le gouvernement ne recommande plus l’utilisation des masques en tissu les moins efficaces (masque de classe 2), quels types de masque a-t-on le droit de vendre, et dans quelles conditions ? Un décret publié le 27 janvier permet d’y voir plus clair à ce sujet.
Ce texte de loi précise quels sont les masques qui « répondent aux prescriptions des autorités sanitaires ». Il s’agit des masques chirurgicaux, des masques FFP2 ou FFP3, ainsi que des masques non sanitaires, mais qui répondent à des caractéristiques bien précises : une efficacité de filtration vers l'extérieur des particules de 3 micromètres supérieure à 90 %, une respirabilité qui permet un port durant 4 heures, des critères de perméabilité à l’air et des critères de forme qui permet un ajustement au visage, sachant que toutes ces spécifications doivent se maintenir après au moins 5 lavages pour les masques réutilisables.
Les masques qui ne répondent pas à ces caractéristiques ne sont pas interdits à la vente. En revanche, tous les distributeurs de masque (pour vente ou distribution gratuite) sont tenus d’informer le consommateur, « de manière visible, lisible et facilement accessible », sur le fait que ces masques répondent - ou ne répondent pas - aux prescriptions des autorités sanitaires. De plus, les deux types de masques seront exposés (pour vente ou distribution gratuite) dans des endroits bien distincts.
Ça s’en va et ça revient (ou pas)
Glucagen Kit : une rupture brève
Traitement du diabète de type 2
Les analogues du GLP-1 augmenteraient le risque de fracture
Traitement de l’anémie
NeoRecormon : des tensions voire des ruptures de stock à prévoir
Bilan 2024
L’officine, toujours premier lieu de vente des compléments alimentaires