« Nous ne sommes pas dans un syndicalisme d’opposition, mais de partenariat », affirme Philippe Denry, président de la commission Relations sociales et formation professionnelle à la FSPF (Fédération des syndicats pharmaceutiques de France). Du côté des employeurs aussi, on prône le dialogue et la recherche de compromis. Titulaires et adjoints, après tout, sont pharmaciens. « Nos sorts sont liés. Si les adjoints ont de bonnes conditions de travail, c’est bon pour l’officine », estime le représentant patronal. Autre raison : « parmi les professionnels de santé, nous sommes ceux où la masse salariale est la plus importante. Nous avons une culture du paritarisme bien ancrée. »
Intérêt commun avec les titulaires
Publié le 17/01/2011
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2803
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