François Hollande a annoncé hier la création immédiate d’une prime de 2 000 euros par an pour les entreprises de moins de 250 salariés contre toute embauche en CDI ou CDD de plus de 6 mois.
Mais cette prime est réservée aux salaires entre 1 et 1,3 SMIC. Une mesure qui laisse perplexe l’Union nationale des professions libérales (UNAPL) et l’Union professionnelle artisanale (UPA). Pour elles, cette mesure ne permettra pas de déclencher un vaste mouvement d’embauche.
À leurs yeux, « le plan d’urgence pour l’emploi présenté par le président de la République ne répond pas aux attentes des entreprises qu’elles représentent ». « La première urgence consiste à engager une baisse structurelle du coût du travail. Mais malheureusement, le président de la République a préféré reporter à nouveau cette échéance de deux années », déplorent l’UNAPL et l’UPA, même si elles estiment que « la décision de plafonner les indemnités de licenciement est de nature à sécuriser les employeurs comme les salariés, et donc à lever un frein à l’embauche ».
Plan d’urgence pour l’emploi : l’UNAPL pas convaincue
Par
Publié le 19/01/2016
- 3 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail

Crédit photo : AFP
- 3 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendupharmacien.fr
Equiper l’officine
Une automatisation des commandes à plusieurs niveaux
Concentration des groupements : le mouvement s'accélère
Près de 40 % du chiffre d’affaires
Médicaments chers : poids lourds de l’activité officinale
Les concentrations continuent
Hygie 31, Giropharm : grandes manœuvres au sein des groupements