EN VERTU du Code du travail, un employeur qui ne fournit pas de travail à ses salariés pendant une journée, par exemple un jour de grève comme la journée d’action des pharmaciens du 30 septembre dernier, ne peut ni pratiquer une retenue sur salaire, ni faire récupérer les heures non travaillées, ni imposer un jour de congé payé aux salariés. Ces derniers doivent donc être payés normalement ce jour de fermeture de l’officine.
L’AIDE au titre du contrat de génération est accordée aux employeurs qui à la fois recrutent en contrat à durée indéterminée (CDI) un jeune de moins de 26 ans et qui maintiennent dans l’emploi en CDI un salarié âgé d’au moins 57 ans ou d’au moins 55 ans au moment de son embauche. Le montant annuel de l’aide est fixé à 4 000 €. Il est versé pendant trois ans. Comme cela avait été annoncé, le montant global de l’aide est doublé et porté, depuis le 15 septembre 2014, à 8 000 €, soit 24 000 € sur trois ans (décret 2014-1046 du 120.2014, « J.O. » du 13).
Equiper l’officine
Une automatisation des commandes à plusieurs niveaux
Concentration des groupements : le mouvement s'accélère
Près de 40 % du chiffre d’affaires
Médicaments chers : poids lourds de l’activité officinale
Les concentrations continuent
Hygie 31, Giropharm : grandes manœuvres au sein des groupements