Si les salariés travaillent le 1er mai (pharmacies de garde), ils ont droit, en plus du salaire correspondant au travail effectué, à une indemnité conventionnelle égale à ce salaire. Ils ont droit également à un repos compensateur d’égale durée.
La journée travaillée du 8 mai, quant à elle, doit être rémunérée comme une journée de travail ordinaire. Mais les salariés bénéficient d’un repos compensateur de même durée et d’une indemnité de sujétion calculée en multipliant le nombre d’heures de présence par 1,5 fois la valeur du point conventionnel.
Equiper l’officine
Une automatisation des commandes à plusieurs niveaux
Concentration des groupements : le mouvement s'accélère
Près de 40 % du chiffre d’affaires
Médicaments chers : poids lourds de l’activité officinale
Les concentrations continuent
Hygie 31, Giropharm : grandes manœuvres au sein des groupements