Alertée du piratage des sites de commerce en ligne de médicaments, la ministre de la Santé rappelle qu’elle a autorisé cette pratique en application d’une directive européenne de 2011 et que, dans ce contexte, elle a choisi d’encadrer, aussi strictement que la réglementation le permettait, ce mode particulier de distribution, pour éviter qu’il ne soit la porte ouverte à la contrefaçon et pour préserver l’accès à un conseil pharmaceutique. Pour Marisol Touraine, l’autorisation des sites par les agences régionales de santé (ARS) et la limitation de la vente aux médicaments soumis à prescription médicale obligatoire, sont autant de conditions strictes garantissant une sécurité optimale pour les acheteurs. Certes, mais ces verrous apparaissent aujourd’hui insuffisants.
Sécurisation des sites : peut mieux faire
Publié le 12/09/2013
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3028
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