En France, le débat continue. Dernière prise de position en date, celle du Collectif national des groupements de pharmaciens d’officine. Inquiet d’éventuelles dérives, le CNGPO, qui regroupe 15 groupements, pose trois conditions avant de juger ce « libre accès virtuel » éventuellement possible :
- un site identifié à une officine inscrite à l’Ordre
- le respect de la chaîne de distribution du médicament
- la commande doit être récupérée à l’officine.
Observatoire Fiducial
Le chiffre d’affaires des officines progresse en 2024, la rentabilité recule
Equiper l’officine
Une automatisation des commandes à plusieurs niveaux
Concentration des groupements : le mouvement s'accélère
Près de 40 % du chiffre d’affaires
Médicaments chers : poids lourds de l’activité officinale