À la clinique de l’Anjou, à Angers (Maine-et-Loire), un curieux accessoire remplace depuis peu l'usage de gaz anesthésique lors des biopsies et autres petits actes chirurgicaux douloureux.
Baptisées Bliss, ces lunettes 3D mises au point il y a quelques années combinent le potentiel de la réalité virtuelle, des techniques sonores et de la musique sur la douleur des patients. Pour le Dr Nicolas Paillocher, chirurgien-oncologue, proposer à ses patients une plongée virtuelle sous la surface de l'océan ou un vol dans l'espace en apesanteur fait désormais partie de sa pratique quotidienne. Mais au-delà de l'oncologie, Bliss convient à d'autres gestes : biopsies, ponctions, dialyses, actes gynécologiques et obstétriques ou pansements douloureux. Les séances, qui sont autant de diversions à la douleur, peuvent être paramétrées en fonction du geste médical et du patient, pour des usages de quelques minutes à plus d’une heure. Outre le caractère non chimique et non invasif de la méthode, le dispositif présente également l'avantage d'être une solution universelle qui convient à tous les patients sans contrainte liée à la langue ou à ses capacités intellectuelles.
Equiper l’officine
Une automatisation des commandes à plusieurs niveaux
Concentration des groupements : le mouvement s'accélère
Près de 40 % du chiffre d’affaires
Médicaments chers : poids lourds de l’activité officinale
Les concentrations continuent
Hygie 31, Giropharm : grandes manœuvres au sein des groupements