Hors site internet et application, d’autres ressources technologiques plus poussées peuvent venir en aide aux personnes âgées, d’après Ludovic Guilbaud. « Les remplisseurs de piluliers automatisés, par exemple, vont préparer directement en pharmacie les doses à administrer ». Des systèmes qui réduisent les erreurs de préparations manuelles et donc les risques d’iatrogénie médicamenteuse.
Seul inconvénient, leur coût. « Il faut compter plusieurs dizaines de milliers d’euros pour les modèles d’entrée. Pour être amortis, ils doivent couvrir une grande quantité de lits. »
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