La Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) a observé une hausse spectaculaire des signalements de violations de données en 2021. Un phénomène lié à la très forte croissance des attaques informatiques, notamment les attaques par rançongiciels qui ciblent d'abord les entreprises, les collectivités et les organismes publics, particulièrement dans le secteur de la santé. En tout, 3 000 violations résultant d'un piratage informatique ont été remontées à la CNIL l'an dernier, soit 59 % des signalements. Sur ce total, on dénombre 2 150 attaques par rançongiciels, une technique qui consiste à envoyer à un internaute un logiciel malveillant qui chiffre l'ensemble de ses données et lui demande une rançon en échange du mot de passe de déchiffrement.
Alors que son activité n'a jamais été aussi intense, la CNIL, qui pourrait prochainement obtenir de nouvelles missions à travers la nouvelle régulation européenne sur le numérique, veut continuer de faire évoluer ses pratiques. Elle a déjà annoncé une procédure de sanction simplifiée, permettant au seul président de sa formation restreinte de prononcer des amendes d’un montant maximal de 20 000 euros et des astreintes de 100 euros par jour maximum.
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