- On distingue entre les AVC ischémiques (80 %) et les AVC hémorragiques (20 %) ; les seconds étant potentiellement plus graves.
- Seuls des examens d’imagerie permettent de les distinguer formellement, d’en préciser la localisation et l’importance, ce qui est essentiel à une prise en charge optimale.
- Les AVC sont une urgence médicale absolue : tout symptôme neurologique survenant brutalement doit y faire penser et conduire à prévenir immédiatement les secours et, si possible, à faire hospitaliser le patient dans une unité neurovasculaire.
- Un accident vasculaire transitoire doit conduire à une consultation médicale rapide.
- La prévention primaire et secondaire des AVC repose sur la réduction des facteurs de risque : pathologie cardiovasculaire, diabète, dyslipidémie, tabagisme…
- Un enjeu prioritaire est représenté par la prévention des récidives, dont la fréquence est très élevée.
À la Une
Plafond de remise à 30 % sur les génériques : quelle date d’application ?
Dispositifs médicaux
Compression veineuse : baisses de prix sur une gamme Urgo à partir du 1er août
Arrêt de commercialisation
Cynomel remplacé par Thybon 20 Henning : attention aux risques d’erreurs médicamenteuses
Alerte de la DGCCRF
Rappels de produits cosmétiques : les officines ont obligation d’informer le consommateur