Un projet d’arrêté de bonnes pratiques de dispensation vient d’être présenté à la profession. Celui-ci concerne l’ensemble des médicaments, prescrits ou non, vendus à l’officine ou sur Internet. « Nous sommes d’accord avec les orientations du texte sur l’évolution du métier, notamment sur la qualité ou les nouvelles taches que devraient accomplir les officines, mais il est absolument hors de question pour nous que tout nouveau travail demandé à la pharmacie d’officine ne soit pas accompagné d’une rémunération », indique Philippe Besset, vice-président de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF). D’autant que, selon ses calculs, la mise en place de ces bonnes pratiques coûterait chère à la pharmacie, au moins 1 milliard d’euros. « Oui à une augmentation progressive de la qualité de l’acte pharmaceutique, mais cela doit être corrélé à une économie qui puisse permettre à l’ensemble des officines de le faire », estime Philippe Besset.
Dispensation : les bonnes pratiques qui valaient un milliard
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Publié le 21/04/2015
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Source : lequotidiendupharmacien.fr
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