Avec l’arrivée des « premiers frissons de l’hiver », l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) renouvelle sa communication pour renforcer le bon usage des vasoconstricteurs oraux. Largement utilisés pour décongestionner les nez bouchés par le rhume, ces médicaments exposent à un risque d’effets indésirables dont certains sont rares, mais très graves, tels que des infarctus du myocarde ou des accidents vasculaires cérébraux (AVC). C’est pourquoi il convient de réserver le traitement par un vasoconstricteur en seconde intention, en cas de non-soulagement des symptômes avec les mesures d’hygiène habituelle. Et d'exclure certaines catégories de patients telles que les moins de 15 ans, les hypertendus sévères ou mal équilibrés, les personnes ayant des antécédents ou un facteur de risque d’AVC, les insuffisants coronariens sévères… Une fiche récapitulative est à disposition des pharmaciens, ainsi qu’un dépliant destiné aux patients.
Vasoconstricteurs
L’usage raisonné reste de mise
Par
Publié le 17/12/2021
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien
Pratiques avancées
Médicaments et DM autorisés en primo-prescription par les IPA : la liste est publiée
Semaine européenne de la vaccination
Quels vaccins sont recommandés chez la femme enceinte ?
À la Une
Deux tiers des pharmacies ont vu leur rentabilité baisser en 2024
Une idée de l’assurance-maladie
Médicaments, pansements : quelle est cette expérimentation contre le gaspillage ?