Les résultats d’une étude parue dans le « New England Journal of Medicine » suggèrent que la vitamine D ne présente aucun intérêt dans la prévention des fractures en population générale.
Une étude parue hier dans le « New England Journal of Medicine » (NEJM) remet en question la supplémentation en vitamine D3 chez les sujets d’âge moyen et les personnes âgées en bonne santé, dans la prévention des fractures.
La publication fait référence à une étude portant sur 25 871 participants, dont la moitié de femmes. 1 991 fractures ont été relevées chez 1 551 personnes. Au cours d’une période de suivi de 5,3 ans, aucun effet bénéfique de la vitamine D n’a pu être prouvé à l’issue de cette observation. Car 769 fractures sont survenues dans le groupe des 12 927 personnes supplémentées contre 782 fractures dans le groupe placebo de 12 944 participants.
À noter que ces personnes ne souffraient pas de carence en vitamine D, ni d’une faible masse osseuse, ni d’ostéoporose.
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