Le malaise grandit au sein de la profession et de ses étudiants. Et connaît son apogée le 21 novembre dans un mouvement initié dans les villes universitaires. Les revendications des étudiants réclamant d'urgence une réforme du troisième cycle de la filière officine convergent avec les demandes de la profession. Il s'agit de garantir, par des études plus adaptées et une économie officinale plus robuste, l'avenir de la prise en charge des soins non programmés sur l'ensemble du territoire. Ce souhait d'une offre de soins de qualité et de proximité ne serait-il cependant qu'un vœu pieux alors que les pénuries de médicaments atteignent des sommets inégalés ? À l'invitation du gouvernement, l'ensemble des acteurs de la filière du médicament se sont résolus à ratifier une charte, les engageant à plus de transparence, plus de coopération, pour une mise à disposition plus fluide et plus équitable des médicaments en officine. Ce document se veut ambitieux. Pour autant, il ne contient aucune mesure contraignante. Tout juste veut-il restaurer la confiance du public dans ses acteurs du médicament.
Novembre
La colère gronde
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Publié le 04/01/2024
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Source : Le Quotidien du Pharmacien
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