Le 17 février dernier, la justice annulait l’arbitrage en vertu duquel Bernard Tapie avait reçu 405 millions d’euros de l’État, dans le cadre de l’affaire de la vente d’Adidas. M. Tapie n’est pas effondré pour autant. Il a engagé un nouvel avocat qui estime que son client a été grugé d’un milliard, et il va les réclamer au Crédit lyonnais. Je ne suis pas sûr que, cette fois, M. Tapie réussira à faire rendre gorge à ceux qu’il considère comme ses débiteurs, mais si l’on se souvient que l’affaire remonte à 1993, on peut estimer qu’il faudra une bonne vingtaine d’années aux juges pour rendre une décision. Je ne sais pas non plus si l’homme d’affaires a rendu tout ou partie des 405 millions, mais il a réparti les sommes dans des investissements divers, probablement irrécupérables, et, pour le moment, son niveau de vie ne semble pas en souffrir. M. Tapie n’est donc ni pauvre ni sans emploi : il a trouvé un job à plein temps en contrat à durée indéterminée, celui de plaideur.
HUMEUR
Le prix de Tapie Abonné
Publié le 16/07/2015
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RICHARD LISCIA
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3195
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