L'Association d'aide aux parents d'enfants souffrant du syndrome de l'anticonvulsivant (APESAC) a déposé plainte mercredi avec constitution de partie civile. Son but est d'obtenir l'ouverture d'une information judiciaire et la désignation d'un juge pour établir les responsabilités dans l'affaire Dépakine (valproate de sodium). L'APESAC regrette en effet que « malgré les plaintes individuelles de plusieurs familles, déposées il y a 16 mois pour certaines, à ce jour, aucune date n'a été communiquée concernant une quelconque information judiciaire ». Fin août, le ministère de la Santé a reconnu que plus de 14 000 femmes enceintes avaient été exposées entre 2007 et 2014 à ce médicament et qu'un dispositif d'indemnisation des victimes serait mis en place.
Dépakine
Dépôt de plainte
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Publié le 26/09/2016
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3289
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